Entre actions et épuisement, les mots peinent à sortir. Pas que je n'ai rien à dire. Mais les mots ne sortent pas. Il y a des jours où ma solitude me sourit. Je suis bien. Il y a des jours où je voudrait crier, je ne sais quoi à je ne sais qui. A quoi bon, je n'ai rien à dire, personne pour m'écouter.
L'action viendra, à force de volonté et de petites pierres, je l'espère, remplir ma vie de fleurs et de printemps. Le soleil et le souvenir de ma mère adorée viendront dorer doucement ma vie. Alors je laisse faire, je laisse filer, je fais infiniment lentement ce que je dois faire pour continuer à vivre et avancer.
Alors ce soir, avant de m'engouffrer dans ma myriade de détails à régler, je me tais sagement, car je n'ai rien à ajouter.
Perso, je m'occupe d'aider mon fils cadet à s'installer dans son F2. Cela me prend mon temps et me donne un objectif et un espoir que je place en lui...
RépondreSupprimerReste le benjamin qui n'a toujours ni permis ni emploi...
Et le souci de l'ainé qui se met en ménage alors qu'il est au RSA ? Est-ce bien raisonnable ?
D'autant que l'arithmétique et lui, ça faisait déjà deux...
Bon installation à ton fiston. C'est une très bonne nouvelle, ça! Et en plus ça t'occupe!
SupprimerEt ton aîné qui se met en ménage, encore une bonne nouvelle. Sa chérie saura l'aider à avancer.
Et le benjamin, un ou deux ans et lui aussi se dépatouillera.
Plein d'énergie positive pour toi.
Je crois que la copine de mon ainé ne sait pas compter non plus... Et les soucis d'argent... C'est une des raisons des ruptures... Enfin... On ne peut rien dire, sous peine de passer pour des rabat-joies... L'amour rend aveugle dans ce premier temps...
Supprimer