Peu de temps pour écrire, je me bats. Je me bats pour moi, pour mon travail, ma seule richesse. Je m'accroche à mon rocher. Je me bats contre moi-même car la dépression est toujours là, qui rôde, derrière un rocher. J'ai très envie d'écrire, toujours et même plus. Mais, je dois être raisonnable. Je veux être à la hauteur, le plus haut que je peux pour que mes efforts aient un sens. Je commence mon marathon de cours et je prends mon rôle de manageur à la hauteur qui doit être. On verra. J'espère me dire bientôt. J'ai donné le meilleur de moi-même. J'ai fait ce que j'ai pu. J'y suis arrivée. Je fais le job.
Bisous à tous les deux, et oui, Zaza, c'est Lili ici. Rêveuse aussi. Les rêveuses se brûlent parfois les ailes et se retrouvent sur la toile pour souffrir en silence.
C'est vrai qu'avec ta photo de la terre, j'ai cru que tu étais Nukhino...
RépondreSupprimerIci, c'est le désert sur Blogspot; De temps en temps tu croise un chameau mais y'a pas foule...
Battons-nous ma Lili, parfois pour certaines causes, d'autres fois pour d'autres...
RépondreSupprimerOn se complique tellement la vie. Les gens nous compliquent tellement la vie !
Je me sens las et rien n'a de goût, rien hormis le temps passé avec mon garçon. C'est un si bon garçon avec sa maman.
Dernièrement il ne cesse de me demander "ça va ma p'tite maman ?" comme si c'était moi l'enfant, comme s'il voulait me protéger et me cajoler.
Il ne sait rien de ma chute mais il est loin d'être bête, le fiston. Au petit matin il lui est arrivé de m'entendre pleurer alors il me demande si j'ai encore fait un mauvais rêve ?
Un mauvais rêve, oui.
C'est si bon, l'amour d'un enfant...
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